Un texte en vers.

Publié le par Gérard

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Darling nous a fait rencontrés, en Août 2011 dernier,

Feeling est-ce le mot approprié à notre rencontre,

Les messages envoyés, nous ne les avons jamais renier,

Le premier pas, vas savoir, est-ce toi vraiment qui le démontre.


On ne vas pas réfléchir là-dessus, l'essentiel est ailleurs

Nos yeux, notre regard, nos visages n'ont-ils pas faits le reste

Longtemps nous avons correspondu avec le plaisir des fleurs,

Puis, nous nous sommes quittés, sans savoir le pourquoi du reste.


Suis revenu vers toi, pensant prendre une bonne claque à raison,

A ma grande surprise tu as répondu, par correction et gentillesse,

Longuement, nous avons cherché à discuter, avoir l'image et le son,

Quel patience pour installer Skype, entendre le OUAIS de tendresse.


Alors là, nous avons battu des records d'audience de nos conneries,

De bon matin jusqu'au soir, en te faisant des signes pour ne pas voir !

Nos vies sont passées à la moulinette, morts de rires de nos plaisanteries,

Les points communs entre nous, sont vite apparus, sans nous en apercevoir.


Nous ne savons pas si c'est du magnétisme, mais parfois cela nous fait peur,

Car bien souvent nos conversations en sont pas éloignées de la vérité,

Des vérités magiques, paranormales, chaque jour viennent dans nos demeures,

Qui pourrait croire que je vais au balcon quand du PC, tu m’appelles, effrontée.


Une grande Amitié sincère est née, me dis-tu. Point Barre,

Moi qui me bat avec mes sentiments que j'éprouve pour toi malgré tout,

Pour mon Anniversaire, enfin, un très joli message est parvenu à Gérard,

Quand je suis ronchon, comme tu dis, et bien, je le regarde de partout.


Je pourrais en dire, en écrire un livre de notre relation virtuelle,

Mais je sens que peu à peu, tu t'éloignes de moi, volontairement,

Encore me diras-tu, je me pose trop de questions mais en fait, c'est réel,

Tu me pousses dans les bras d'une autre, comme si tu ne savais pas mon ressentiment.


Tu ne comprends pas combien je suis attaché à toi, qu'une autre ne pourra rien,

Je n'en ai nul envie, encore moins l'intention car te voir ou t'entendre me comble,

Sauf à comprendre que ta lassitude, tes prévisions, tes urgences sont ton quotidien,

Faire que de moi-même, je m'écarte douloureusement d'être un jour, celui qui te plombe.


Le temps, je l'ai pris, de t'écrire ces quelques phrases en vers,

La tâche n'est pas trop difficile car faite sur World, dans la sérénité,

Pour faire en sorte que la colère ne soit pas tienne, que sur moi tu ne passe pas tes nerfs,

Que veux tu, tu es capable de passer un journée, voir deux sans moi, je sais pas faire en vérité.

 

Gérard STEPHAN - 14 Octobre 2011.

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