Faire l'amour le première fois !.
Il est venu me dire…
J’ai voulu croire encore à cette folie douce,
Ma vie comme un poème, ma conscience je repousse.
Une envolée lyrique m’envoyant au sommet,
Un élan poétique dont je me suis grisée.
Quand ses mots m’ont touchée, je n’ai pas voulu voir
Mon âme déraisonnée, mon désir illusoire.
L’espoir déjà s’enfuit, tout n’est plus que chimère,
Le passé nous dévore, le présent fait lumière.
Je garde de ses yeux son infinie douceur,
De son cœur amoureux, le fruit de mes erreurs.
Il m’a menée au-delà, sur les terres du repos,
A ébranlé en moi les germes de mon chaos.
J’ai compris un peu tard, qu’il était juste un ange,
Qu’appelait ma mémoire, pour qu’enfin ma vie change.
Messager de l’éternel, il a exaucé mes prières.
Redevenue simple mortelle, je le replace à l’univers.
La passion m’a laissé la trace de son passage,
Une foi nouvelle est née, à l’ombre d’un présage,
Je détruis nos doux rêves, renonce à l’avenir,
Faudra-t-il que j’en crève, je garde l’élixir
De ces moments sublimes, divins et consentants,
Où je lisais ses rimes, ses messages bienveillants,
De ces instants suprêmes, où le temps suspendu,
Je lisais ses je t’aime, au cœur de l’absolu…
J’ai aimé le poète, de toute mon âme, de tout mon cœur,
Un ange sur la planète, une flamme, une étincelle de bonheur.
J’ai voulu croire encore à cette folie douce,
Ma vie comme un poème, ma conscience je repousse.
Une envolée lyrique m’envoyant au sommet,
Un élan poétique dont je me suis grisée.
Quand ses mots m’ont touchée, je n’ai pas voulu voir
Mon âme déraisonnée, mon désir illusoire.
L’espoir déjà s’enfuit, tout n’est plus que chimère,
Le passé nous dévore, le présent fait lumière.
Je garde de ses yeux son infinie douceur,
De son cœur amoureux, le fruit de mes erreurs.
Il m’a menée au-delà, sur les terres du repos,
A ébranlé en moi les germes de mon chaos.
J’ai compris un peu tard, qu’il était juste un ange,
Qu’appelait ma mémoire, pour qu’enfin ma vie change.
Messager de l’éternel, il a exaucé mes prières.
Redevenue simple mortelle, je le replace à l’univers.
La passion m’a laissé la trace de son passage,
Une foi nouvelle est née, à l’ombre d’un présage,
Je détruis nos doux rêves, renonce à l’avenir,
Faudra-t-il que j’en crève, je garde l’élixir
De ces moments sublimes, divins et consentants,
Où je lisais ses rimes, ses messages bienveillants,
De ces instants suprêmes, où le temps suspendu,
Je lisais ses je t’aime, au cœur de l’absolu…
J’ai aimé le poète, de toute mon âme, de tout mon cœur,
Un ange sur la planète, une flamme, une étincelle de bonheur.
